Technologie et sécurité

1. La technologie Velhy en 10 points

  1. Propulsion électrique à l’hydrogène : la batterie lithium est remplacée par un réservoir d’hydrogène et une pile à combustible. La pile à combustible transforme l’hydrogène du réservoir et l’oxygène de l’air en eau et électricité. Ce système de vélo à hydrogène s’inscrit dans une démarche globale de mobilité à hydrogène fiable et durable.
  2. Production d’hydrogène propre : La technologie Velhy permet de produire de l’hydrogène à partir d’eau purifiée, grâce à un électrolyseur domestique conçu pour la maison, en utilisant l’énergie solaire pour réduire l’empreinte carbone.
  3. Énergie haute densité : Avec 200 ml d’eau, il est possible de produire 20 g d’hydrogène en 4 à 5 heures, offrant une source d’énergie très compacte.
  4. Réservoir basse pression : Des réservoirs d’hydrogène de petite taille, légers, économiques et à 10 bars de pression, permettent de transporter cette énergie de manière sûre et pratique.
  5. Mobilité durable : Les vélos à hydrogène de la marque offrent une autonomie de 40 à 60 km avec une seule recharge, idéale pour les déplacements quotidiens.
  6. Sécurité renforcée : La technologie Velhy utilise des solutions de stockage, charge et décharge à basse pression, à seulement 10 bars, testées et certifiées CE et TUV, ininflammable et anti-explosion, fiables pour un usage quotidien.
  7. Longévité des systèmes : Les générateurs à hydrogène et piles à combustible Velhy offrent une durée de vie moyenne de 10 à 20 ans, avec peu de maintenance et un faible coût d’entretien.
  8. Production efficace : Les systèmes Velhy consomment environ 1,5 kWh, soit un coût d’environ 0,30 € d’électricité pour produire une recharge complète d’un vélo à hydrogène, ce qui représente un coût énergétique compétitif.
  9. Avantages écologiques prouvés : L’ensemble de la chaîne technologique de Velhy vise à réduire la dépendance aux combustibles fossiles et à limiter les émissions polluantes, favorisant ainsi la transition vers une énergie verte.
  10. Le plaisir d'un trajet à vélo : effectuer des trajets avec la satisfaction de se déplacer grâce à l'eau.

2. Vision

La marque de vélo Velhy a été créée dans le but d’offrir une alternative sûre et durable à la batterie lithium qui équipe presque tous les vélos électriques. Dans une ère où les habitations s’équipent de panneaux solaires, il fait sens d’utiliser ce surplus solaire pour électrolyser l’eau et stocker de l’hydrogène pour sa propre mobilité électrique.

Le vélo à hydrogène devient alors bien plus qu’un moyen de transport : il permet à chacun de recevoir l’hydrogène qu’il produit lui-même à domicile, via un système responsable et autonome.

La marque Velhy croit au mix énergétique pour une mobilité future globale plus propre et plus durable. La technologie de stockage en basse pression de l’hydrogène permet de rendre l’hydrogène fiable et sûr, et de concrétiser ce rêve en mettant sur le marché les premiers vélos à l’hydrogène.

3. Sécurité

Afin de garantir la sécurité à ses utilisateurs, Velhy a fait le choix d’une toute nouvelle technologie de stockage d’hydrogène à basse pression. Le système Velhy permet en effet un mode de fonctionnement en basse pression, à 10 bars. Le réservoir est de ce fait très sécurisé. Il a reçu la certification TUV, preuve d’ininflammabilité et d’anti-explosion.

À savoir que la plupart des systèmes de distribution, de charge et décharge actuels se font à une pression de 300 bars, ce qui les rendait dangereux, notamment en cas d’explosion. Ce paramètre était jusqu’à maintenant un frein au développement des vélos à hydrogène.

Ce stockage en basse pression à 10 bars est permis en raison d’une nouvelle technologie de stockage de l’hydrogène appliquée dans les réservoirs Velhy : il s’agit de poudre d’alliage contenue dans le réservoir, avec laquelle l’hydrogène se combine afin de passer de l’état gazeux à l’état solide, et ainsi prendre 500 fois moins de place dans le réservoir. De ce fait, le réservoir de 0,4L peut stocker 200L d’hydrogène sous une pression de 10 bars seulement.

La pile à combustible contenue dans le cadre, qui transforme l’hydrogène du réservoir et l’oxygène de l’air en eau et en électricité afin d’alimenter le moteur, est aussi certifiée, ininflammable et anti-explosion, et n’est pas un élément dangereux du vélo à l’hydrogène.

4. Durabilité

Fabriquer une batterie lithium nécessite bien plus de métaux rares, tels que le lithium, le nickel, et le manganèse que pour constituer un réservoir et une pile à combustible. Il arrivera un jour où il n’y aura plus assez de ces métaux pour fabriquer de nouvelles batteries, surtout si chaque habitant de la planète en possède, et c’est pourquoi il est pertinent de développer cette technologie de vélo à hydrogène, plus coûteuse en électricité par km, mais bien moins coûteuse en consommation de métaux rares et donc au bilan carbone plus positif.

Par ailleurs, les batteries lithium-ion n’ont qu’une durée de vie de 1000 cycles, après quoi une remise à neuf s’impose avec un renouvellement et un recyclage des cellules usées, ce qui entraîne à nouveau des demandes de métaux rares. Avec l’hydrogène, au contraire, la pile à combustible a une durée de vie de 10 000 à 20 000 cycles et nécessite très peu de métaux rares, tandis que le réservoir d’hydrogène a une durée de vie de plusieurs décennies, et ne nécessite aucun métal pour sa fabrication.

En conclusion, le mix d’énergie solaire et la technologie à l’hydrogène permettent d’améliorer davantage son bilan carbone par rapport au vélo électrique de ville classique.